La philosophie COLIBRI à l’école

Pourquoi cette image du colibri appliquée à l’école ?

L’apprenant ne connaît pas l’angoisse de l’échec mais l’enthousiasme de la réussite, sachant qu’il va acquérir ses connaissances progressivement par étapes structurées. Tel un colibri, il avance sans se décourager.
Grâce à son « passeur de savoirs » (enseignant), il trouve une sécurité (plan d’activités, une progression méthodique). Il découvre que son enseignant a besoin également d’apprendre (informatique… mise à niveau).
Ce dernier lui ouvre les portes de la CULTURE, sans tabou (littérature, musique… travaux pratiques).
Parmi les 7 formes d’intelligence, l’apprenant découvre celles dont il est pourvu. Il essaie d’en développer d’autres.
« Le passeur » privilégie l’interdisciplinarité. L’apprenant acquiert des compétences transversales (exemple du poumon!)
La « méthode » n’en exclut aucune autre. Elle s’enrichit de tous les matériels, de tous les outils passés et présents dont nous disposons (lexidata, les fiches perforées, réglettes cuisenaire…, cadenas,…matériel Montesori, jeux de cartes, informatique, audiovisuel, montages audiovisuels, jardinage… Elle les intègre dans le parcours personnalisé de l’apprenant. De ce fait, la « méthode » fait partie intégrante de l’Education Nationale. Elle fournit des techniques mnémotechniques pour développer sa mémoire. L’enseignant s’enrichit des différences de ses collègues.

Comment la philosophie Colibri est-elle mise en pratique ?

… et ça marche pour tous …même auprès des migrants pour l’acquisition de bases du Français.

La plus grande partie du matériel est fabriquée à partir de matériaux de récupération. (des bouteilles (de champagne !) serviront de xylophone … des cartons d’emballage propres permettront de constituer les panneaux d’acquisition ou de synthèse, ceux des boîtes de céréales les solides de Platon, notamment l‘icosaèdre des adjectifs qualificatifs de la ville de Challanspuis des adjectifs qualificatifs positifs
et les sphères de connaissances (plus communément appelés les ballons de football ou de handball…), citons-en 3: celui de la Vendée, celui des 12 mois,celui du corps humain
L’apprenant(e) met ses talents au service de tous (travaux en « binômes » de même force ou de force complémentaire). Il participe à de nombreuses mises en commun, exposés, poèmes, textes. Il n’hésite pas à demander de l’aide. Il apprend à utiliser ses « jokers » (Informatique…), faisant sienne le « philosophie » de « Qui veut gagner des Galons » ? ; il fait appel au public (classe), donne un coup de fil à un ami (entraide), ou utilise le 50/50. Il apprend donc l’humilité et le respect des autres. Il se compare, sans s’identifier, à un colibri, une abeille ou … un joueur de football.
Cet équilibre (cette harmonie) permet une ouverture de l’esprit aux connaissances abstraites avec l’intelligence des mains et la création concrète. (lettres rugueuses … travaux pratiques et artistiques). La personne acquiert ainsi une intelligence du bout des doigts.
Cette « méthode », positive, relie la personne à la nature, l’éveille à la beauté et à la responsabilité à l’égard de la VIE.
En apprenant à avoir du recul, la personne découvre tout ce qui nécessaire à l’élévation de la conscience. (le savoir être, le savoir-faire et le savoir.)
La personne, avant de s’endormir, prend sa « douche de gratitude », ce qui provoquera chez lui inévitablement une « dilatation de la joie », nécessaire à ses cellules. Il orientera sa vie naturellement «Vers une sobriété heureuse ».