Fougère de Boston

  • Cette fougère, originaire des régions tropicales où elle pousse à l’ombre des arbres, appartient aux Néphrolépidacées.
  • Elle diminue les concentrations de 9 COVs, formaldéhyde en tête.
  • Maintenue à chaleur constante, cette fougère croit toute l’année. Son environnement favori ? Un endroit chaud et humide, à la lumière vive.
  • En libérant une grande quantité de vapeur d’eau, elle contribue à maintenir un bon taux d’humidité favorables aux orchidées, orchidée papillon et sabot de Vénus ou au guzmania.
  • Attention à ne pas exposer directement au soleil sous peine de brûler son feuillage.

Quelles est l’action dépolluante de la fougère de Boston ?

La fougère de Boston est l’une des championnes de la dépollution de l’air intérieur.

  1.  Elle absorbe très bien le formaldhéhyde et le xylène
  2. Elle diminue le taux de toluène.

Comment entretenir ma fougère de Boston ?

Placez-la dans pot dont le fond est rempli de cailloux, avec un mélange  de terreau pour plantes vertes.

  • Cette plante a besoin d’une lumière moyenne: 800 lux lui conviennent, sans soleil direct.
  • Sa température de prédilection se situe entre 10 et 20°.
  • Cette fougère originaire des zones tropicales humides a besoin d’une humidité forte (au moins 60%) ; vaporisez donc la plante très souvent tout au long de l’année. Prévenez les attaques des araignées rouges (elles détestent l’eau)  en effectuant des brumisations de savon ou de décoction d’ail. Il ne faut pas oublier de pulvériser sous les feuilles ! Ces acariens, qui se reproduisent en milieu sec  et plutôt chaud, sucent le suc des cellules des plantes, ce qui provoque le jaunissement des feuilles.
  • Bassinez la plante en été avec une eau de pluie à température ambiante.
  • Dépoussiérerez-la.

 Où placer cette plante ?

Elle trouvera  naturellement sa place dans la salle à manger mais aussi dans le bureau, la chambre de bébé ou la salle de bains où l’humidité ambiante lui convient ainsi que dans la véranda.

> en savoir plus sur le rôle des plantes dépolluantes: la « phytoremédiation»

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